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La "brigade antidiscrimination" voulue par le gouvernement ? Une page Facebook

Lundi, 1 Avril, 2019
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"S'il faut plus de moyens, on les mettra", assurent les ministres Julien Denormandie et Marlène Schiappa.

Lancement en grande pompe. Après une tribune parue dans Le Parisien et Le Journal du dimanche annonçant sa création, la page Facebook "brigade anti-discrimination"(Badi) a été inaugurée ce lundi dans les locaux parisiens de Facebook France, en présence de la secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, et du ministre chargé de la Ville et du Logement, Julien Denormandie. 

"S'il faut plus de moyens, on les mettra", assurent les ministres Julien Denormandie et Marlène Schiappa.

Lancement en grande pompe.

La Brigade anti-discriminations, une vraie bonne idée?

Mercredi, 3 Avril, 2019
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VICTIMES  Les associations saluent le lancement d’une plateforme de signalement des discriminations sur Facebook, tout en regrettant que le projet du gouvernement n’aille pas plus loin


Signaler une situation de discrimination, c’est désormais possible sur 

Bobigny : la Maison des Potes porte plainte contre Génération identitaire

Les militants de ce mouvement d’extrême droite ont déroulé une banderole sur la façade.

"Pas de blacks, pas d'Arabes": 4 et 2 mois de prison avec sursis pour deux agents immobiliers

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Jeudi, 7 Février, 2019
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"Tout ce qui n'est pas blanc, je n'en veux pas", aurait déclaré un chef d'agence immobilière à une employée, en 2006. Treize ans plus tard, deux agents de cette société ont été condamnés à du sursis pour discrimination.

 

 

A la barre du tribunal correctionnel mercredi, il a refusé de s'exprimer sur cette vidéo, dont la procureure a lu la retranscription pendant ses réquisitions. Selon elle, dans ce dossier "essentiel" - jugé 13 ans après les faits, après deux non-lieux et des magistrats "qui ont peut-être manqué de courage" - des locations ont été refusées à des "candidats sérieux" qui gagnaient bien leurs vies et avaient de bonnes garanties.  

Un autre salarié de l'agence avait déclaré que son patron lui avait demandé de refuser de louer des appartements aux Asiatiques "car ils s'y mettent à 15", et de ne pas donner suite à ceux qui avaient des accents étrangers au téléphone.

Condamnés pour 4 cas

Le tribunal a condamné les deux hommes pour quatre cas de discrimination uniquement. Plusieurs clients éconduits, qui s'étaient portés parties civiles aux côtés de plusieurs associations, dont SOS Racisme qui avait déposé la première plainte, étaient venus témoigner de ce que la procureure a qualifié de "racisme ordinaire". 

Un couple mixte avait par exemple raconté s'être fait soudainement refuser un appartement au motif qu'il était "réservé". Ils effectuent alors un "testing": dès que des amis aux noms sans consonance étrangère appellent, l'appartement redevient disponible. 

Tout au long de l'audience, le père et le fils, qui ont nié en bloc, ont secoué la tête, l'air incrédule et énervé. "Ils ne sont pas racistes" mais "boucs émissaires" dans un dossier qui ne repose sur "aucune preuve concrète", a soutenu leur avocat, qui avait plaidé la relaxe.

"Tout ce qui n'est pas blanc, je n'en veux pas", aurait déclaré un chef d'agence immobilière à une employée, en 2006.

"Tout ce qui n'est pas blanc, je n'en veux pas", deux agents immobiliers condamnés

Jeudi, 7 Février, 2019
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Guy et David Auvray, père et fils, propriétaires de l’agence immobilière Alvimmo à Palaiseau, viennent d’être condamnés ce mercredi 6 février pour discrimination raciale suite à des propos tenus et filmés en caméra cachée en 2006 et pour le moins choquants.

"Tout ce qui n'est pas blanc, je n'en veux pas", deux agents immobiliers condamnéspar Anais Moinele 8 février 2019 364 partages  

Deux agents immobiliers condamnés pour discrimination raciale

Jeudi, 7 Février, 2019
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Guy et David Auvray, le père et le fils, sont les propriétaires de l’agence immobilière Alvimmo, qui a pignon sur rue à Palaiseau (Essonne). Mercredi 6 février, ils ont été reconnus coupables de discrimination par le tribunal d’Evry, lors de locations. L’affaire avait été révélée en janvier 2006 par l’une des salariés venue en remplacement. Lors de sa première journée de travail, Guy Auvray lui donne la consigne suivante : « Je vous préviens, je ne veux pas de locataires blacks, pas d’Arabes, pas de Japs… Tout ce qui n’est pas blanc, je n’en veux pas. » La candidature de treize locataires d’origine étrangère, aux dossiers pourtant solides, a été écartée.

Guy et David Auvray, le père et le fils, sont les propriétaires de l’agence immobilière Alvimmo, qui a pignon sur rue à Palaiseau (Essonne). Mercredi 6 février, ils ont été reconnus coupables de discrimination par le tribunal d’Evry, lors de locations. L’affaire avait été révélée en janvier 2006 par l’une des salariés venue en remplacement.

Discrimination raciale: «Tout ce qui n’est pas blanc, je n’en veux pas», deux agents immobiliers condamnés

Jeudi, 7 Février, 2019
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« Tout ce qui n’est pas blanc, je n’en veux pas ». Ce mercredi, le tribunal d’Evry a condamné deux agents immobiliers de Palaiseau dans l'Essonne pour discrimination. Guy A., le père, a écopé de quatre mois de prison avec sursis et son fils, David A., de deux mois avec sursis. Les deux cogérants doivent verser 2000 € à l’une des victimes ainsi que 4000 euros (solidairement) pour dommages et intérêt et 500 euros (chacun) pour frais de justice à la Maison des Potes - Maison de l'Egalité, la LICRA et SOS Racisme. Les trois associations s’étaient constituées partie civile dans cette affaire qui remonte à 2006.

« Tout ce qui n’est pas blanc, je n’en veux pas ».

"Blacks, arabes, japs : tout ce qui n'est pas blanc, je n'en veux pas"

Vendredi, 1 Février, 2019
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Deux agents immobiliers, un père et son fils, ont été condamnés mercredi à Evry à 4 et 2 mois de prison avec sursis pour discrimination.
Deux agents immobiliers, un père et son fils, ont été condamnés mercredi à Evry à 4 et 2 mois de prison avec sursis pour discrimination.

Essonne : le procès pour discrimination raciale de deux agents immobiliers renvoyé

Jeudi, 13 Septembre, 2018
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Très attendu, le procès n’a pas eu lieu car la juge qui devait conduire l’audience était intervenue dans le dossier lors de l’instruction. Il a été renvoyé au 6 février 2019.
Très attendu, le procès n’a pas eu lieu car la juge qui devait conduire l’audience était intervenue dans le dossier lors de l’instruction.

Béziers : 2 000 euros d'amende requis en appel contre Robert Ménard

Vendredi, 2 Février, 2018
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Le maire de Béziers comparaissait hier devant la Cour d'appel de Paris pour provocation à la haine. L'avocate générale réclame la même peine qu'en première instance, soit 2 000 euros d'amende.

Le maire de Béziers comparaissait hier devant la Cour d'appel de Paris pour provocation à la haine. L'avocate générale réclame la même peine qu'en première instance, soit 2 000 euros d'amende. Par E.E Publié le 08/02/2018 à 11:08 Condamné en avril dernier en première instance, Robert Ménard se rendait hier devant la Cour d'appel de Paris. Le maire extrême-droite de Béziers se rendait une nouvelle fois devant la justice pour ses propos tenus sur son compte Twitter en septembre 2016 : "#rentreedesclasses : la preuve la plus éclatante du grand Remplacement en cours.

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