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Le testing à l'épreuve des boites de nuit

Lundi, 11 Juillet, 2005
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. A Paris, des couples blacks et beurs ont été interdits d'entrée dans 6 établissements de nuit. Ce fut également le cas dans 5 discothèques de Toulouse et 4 de Bordeaux. Plaintes Des plaintes ont été déposées dans les commissariats et gendarmeries des villes concernées, indique Samuel Thomas, vice-président de SOS Racisme. Selon l'association, alors que des blacks et beurs étaient refoulés, les autres couples, habillés de la même façon, entraient sans difficultés, le motif de refus étant le plus fréquemment, selon SOS Racisme: «vous n'êtes pas des habitués» ou encore «il faut une carte d'étudiant». Lors des cette opération, des couples beurs et blacks ont pu rentrer dans des discothèques d'Angers, Bourgen-Bresse, Creil, Compiègne, Metz, Mulhouse, Nice et Saint-Laurent du Var.

S OS Racisme a organisé, dans la nuit de samedi à hier, une nouvelle Nuit du testing à l'entrée de 50 discothèques dans une quinzaine de villes de France, a-t-on appris auprès de l'association. Entre 22h et 4h du matin, SOS Racisme a mobilisé près de 200 personnes qui se sont présentées devant les portes de 50 boîtes de nuit tant à Paris qu'en province. Selon l'association, des cas de discrimination ont été relevés dans une vingtaine d'établissements répartis dans huit villes, d'Antibes à Paris en passant par Bordeaux, Cannes, La Baule, Marseille, Toulouse et Nevers.

Discrimination raciale à l'entrée d'une boite de nuit: délibéré le 11 juin.

Mardi, 21 Mai, 2002
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Le représentant du ministère public, Thierry Villardo, qui a souligné qu'une "jurisprudence pour des faits identiques existe déjà", a réclamé une peine de 2.250 euros pour les trois associés et une amende de 750 euros pour le portier. par groupes de deux ou trois, et accompagnées de Samuel Thomas, le vice-président de SOS-Racisme, et d'un huissier de justice, s'étaient vu refuser l'entrée de la discothèque le Mea Culpa à Thionville

Le tribunal correctionnel de Thionville, qui a examiné mardi une affaire de "discrimination raciale" à l'entrée d'une boite de nuit en juillet 1999, rendra son délibéré le 11 juin à l'encontre des trois associés et du portier de l'établissement mis en cause. Le représentant du ministère public, Thierry Villardo, qui a souligné qu'une "jurisprudence pour des faits identiques existe déjà", a réclamé une peine de 2.250 euros pour les trois associés et une amende de 750 euros pour le portier. par groupes de deux ou trois, et accompagnées de Samuel Thomas, le vice-président de SOS-Racisme,

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