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Antisémitisme et négationnisme

Procès contre le cadre du RN qui a dégradé 5 mosquées du Doubs

Dimanche, 17 Avril, 2022
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Soutenez la Maison des Potes en procès contre Quentin Le Derout , qui a dégradé en novembre dernier 5 mosquées et 2 voitures dans le Doubs en les couvrant de graffitis de croix de Lorraine (à la peinture rouge sang). Venez assister au procès mercredi 9 fevrier à 13h au Tribunal de Besançon.

 

 

Procès contre le cadre du RN qui a dégradé 3 mosquées du Doubs

Mardi, 1 Février, 2022
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Soutenez la Maison des Potes en procès contre Quentin Le Derout, qui a dégradé en novembre dernier 5 mosquées et 2 voitures dans le Doubs en les couvrant de graffitis de croix de Lorraine (à la peinture rouge sang). Venez assister au procès mercredi 9 fevrier à 13h au Tribunal de Besançon.

 

 

Procès à Metz d'une ancienne élue FN pour incitation à la haine antisémite

Mercredi, 1 Septembre, 2021
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Soutenez la Maison des potes en procès à Metz le mercredi 8 septembre 2021 contre l'antisémitisme insidieux .

 

 

Jugement en appel des profanateurs du cimetière juif de Sarre Union

Lundi, 28 Juin, 2021
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Suite au procès en appel de mai 2021, la Cour d'appel de Colmar va rendre son arret concernant la réparation du préjudice moral de la degradation par 5 jeunes neonazis le 15 fevrier 2015 de 250 tombes du cimetière juif de sarre union, accompagnées de paroles antisémites et de cri d'adoration de Hitler.La maison des potes maison de l'égalité, partie civile avait fait appel du jugement de septembre 2018 du Tribunal correctionnel pour mineur de Saverne. L'enjeu de ce jugement est de faire condamner les jeunes neonazis à verser des dommages et intérêts pour le préjudice moral subit par les associations de lutte contre le racisme.Le tribunal s'il avaut reconnu en première instance le caractère antisémite des délits de dégradations et de profanations pour lesquels ils ont été condamnés en septembre 2017 à des peines de prison avec sursis, n'avait pas accordé de réparation du préjudice aux associations de lutte contre le racisme.

 

 

Procès du policier néonazi de Belfort

Mardi, 8 Juin, 2021
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Soutenez la maison des potes partie civile contre un policier juge à Belfort pour apologie de crime contre l'humanité.Il est suspecté d‘avoir dessiné une croix gammée de couleur claire de grande taille sur le toit d'un appenti contigu à la maison de son père, une demeure sur laquelle il faisait des travaux. à cote de BelfortLe signe nazi était visible de très loin et avait été découvert LE 7 MAI 2021.La croix gammée a rapidement suscité des réactions dans la commune concernée, et une enquête des gendarmes de la brigade des recherche de Belfort a été ouverte. Cette croix a été photographiée.Le policier, qui est convoqué devant le tribunal judiciaire de Belfort le 16 juin 2021, ne travaille pas au commissariat de Belfort mais dans une autre unité du Grand Est. En revanche, les faits qui lui sont reprochés se sont déroulés dans une commune de l’agglomération belfortaine.

 

 

Procès des 5 néonazis profanateurs du cimetière juif

Lundi, 10 Mai, 2021
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SOUTENEZ LA MAISON DES POTES - MAISON DE L’ÉGALITÉ EN PROCÈS EN APPEL CONTRE LES PROFANATEURS DU CIMETIÈRE JUIF DE SARRE UNIONLe 18 Mai 2021 aura enfin (suite au énième report du procès convoqué la dernière fois en mars 2021) devant la Cour d'Appel de Colmar le procès en appel de 5 des profanateurs du cimetière juif de Sarre Union qui avaient détruit 250 tombes le 15 février 2015. Le Tribunal pour enfant de Saverne avait condamné le 15 septembre 2017 les 5 profanateurs jugés, à des peines de prison avec sursis de 8 à 18 mois et à des Travaux d’intérêt général.Sur les "intérêts civils" l'affaire après une multitude de reports avait été renvoyé à une audience du 28 septembre 2018 pour permettre la réalisation d'expertises sur les coûts des travaux de réparation des tombes fracturées. Le Tribunal pour enfants de Saverne avait rendu son jugement pour la réparation des préjudices matériels et moraux des parties civiles réclamés par les familles des défunts dont les tombes ont été détruites et profanées, et les associations de lutte contre le racisme : La Maison des Potes-Maison de l'Egalité, LICRA, le MRAP, Consistoire Israélite du Bas Rhin, Bureau National de Vigilance contre l'antisémitisme, SOS Racisme du Haut Rhin.Contre toute attente le 28 Septembre 2018, le tribunal de Saverne (avec de nouveaux juges qui étaient absent le jour du procès pénal) a décidé de rejeter toute réparation du préjudice pour les associations dont l'objet est la lutte contre le racisme (Maison des Potes, MRAP, SOS Racisme) en prétendant que le caractère raciste des dégradations n'aurait pas été retenu et en prétendant que l'article du code de procédure pénal qui donne le droit de constitution de partie civile aux associations antiracistes ne permettrait pas de le faire pour le délit de profanation de tombes avec un mobile raciste.Pourtant, l'enquête de police, l'instruction, l'audience a clairement démontré que les jeunes profanateurs étaient adorateurs de Hitler, ont faut des saluts nazis et des propos antisémites durant la profanation et étaient très proches du Front National pour les Uns et du mouvement skin head - National Socialiste pour les autres.Pour que 5 ou 6 jeunes démolissent pendant toute une après midi non pas dix, non pas 20 mais 250 tombes d'un cimetière juif en criant Heil Hitler il faut une sacré haine antisémite. L'enjeu pour la Maison des potes était d'identifier les adultes qui ont endoctriné ces 5 profanateurs dans la haine des juifs.Lors du procès des jeunes profanateurs , la Maison des Potes a fait apparaitre les liens entre les jeunes profanateurs et les mouvements d'extrême droite skins heads et FN en soulignant la venue de Jean Marie LEPEN à la veille de la profanation à la rencontre de l'entourage des profanateurs pour dire en réunion publique, quelques semaines après les attentats de Charlie hebdo et de l'hyper casher qu'il n'était pas Charlie Hebdo mais qu'il était "Charles Martel" .L'enjeu du procès en appel est de faire en sorte que et que le caractère raciste et antisémite des dégradations etd es profanations soient bien établie et qu'en conséquence la Maison des Potes et les associations de lutte contre le racisme soient admises comme partie civile et obtiennent réparation du préjudice des délits racistes que les profanateurs ont commis.

 

 

PROCÈS en appel contre les jeunes néonazis profanateurs du Cimetière juif de Sarre Union

Lundi, 8 Mars, 2021
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SOUTENEZ LA MAISON DES POTES - MAISON DE L’ÉGALITÉ EN PROCÈS eEN APPEL CONTRE LES PROFANATEURS DU CIMETIÈRE JUIF DE SARRE UNIONLe 16 Mars 2021 aura enfin lieu devant la Cour d'Appel de Colmar le procès en appel de 5 des profanateurs du cimetière juif de Sarre Union qui avaient détruit 250 tombes le 15 février 2015. Le Tribunal pour enfant de Saverne avait condamné le 15 septembre 2017 les 5 profanateurs jugés, à des peines de prison avec sursis de 8 à 18 mois et à des Travaux d’intérêt général.Sur les "intérêts civils" l'affaire après une multitude de reports avait été renvoyé à une audience du 28 septembre 2018 pour permettre la réalisation d'expertises sur les coûts des travaux de réparation des tombes fracturées. Le Tribunal pour enfants de Saverne avait rendu son jugement pour la réparation des préjudices matériels et moraux des parties civiles réclamés par les familles des défunts dont les tombes ont été détruites et profanées, et les associations de lutte contre le racisme : La Maison des Potes-Maison de l'Egalité, LICRA, le MRAP, Consistoire Israélite du Bas Rhin, Bureau National de Vigilance contre l'antisémitisme, SOS Racisme du Haut Rhin.Contre toute attente le 28 Septembre 2018, le tribunal de Saverne (avec de nouveaux juges qui étaient absent le jour du procès pénal) a décidé de rejeter toute réparation du préjudice pour les associations dont l'objet est la lutte contre le racisme (Maison des Potes, MRAP, SOS Racisme) en prétendant que le caractère raciste des dégradations n'aurait pas été retenu et en prétendant que l'article du code de procédure pénal qui donne le droit de constitution de partie civile aux associations antiracistes ne permettrait pas de le faire pour le délit de profanation de tombes avec un mobile raciste.Pourtant, l'enquête de police, l'instruction, l'audience a clairement démontré que les jeunes profanateurs étaient adorateurs de Hitler, ont faut des saluts nazis et des propos antisémites durant la profanation et étaient très proches du Front National pour les Uns et du mouvement skin head - National Socialiste pour les autres.Pour que 5 ou 6 jeunes démolissent pendant toute une après midi non pas dix, non pas 20 mais 250 tombes d'un cimetière juif en criant Heil Hitler il faut une sacré haine antisémite. L'enjeu pour la Maison des potes était d'identifier les adultes qui ont endoctriné ces 5 profanateurs dans la haine des juifs.Lors du procès des jeunes profanateurs , la Maison des Potes a fait apparaitre les liens entre les jeunes profanateurs et les mouvements d'extrême droite skins heads et FN en soulignant la venue de Jean Marie LEPEN à la veille de la profanation à la rencontre de l'entourage des profanateurs pour dire en réunion publique, quelques semaines après les attentats de Charlie hebdo et de l'hyper casher qu'il n'était pas Charlie Hebdo mais qu'il était "Charles Martel" .L'enjeu du procès en appel est de faire en sorte que et que le caractère raciste et antisémite des dégradations etd es profanations soient bien établie et qu'en conséquence la Maison des Potes et les associations de lutte contre le racisme soient admises comme partie civile et obtiennent réparation du préjudice des délits racistes que les profanateurs ont commis.

Les profanateurs d'un cimetière juif condamnés

Vendredi, 15 Septembre, 2017
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Cinq jeunes hommes ont été condamnés ce vendredi à Saverne (Bas-Rhin) à des peines de 8 à 18 mois de prison avec sursis pour avoir saccagé, alors qu'ils étaient encore adolescents, quelque 250 tombes dans le cimetière juif de Sarre-Union en février 2015.

Le tribunal pour enfants "a suivi à 100% les réquisitions du procureur", a précisé à l'AFP Me Simon Burkatzki, l'avocat de la Licra, à l'issue de ce procès qui s'est tenu à huis clos, les prévenus étant tous mineurs au moment des faits. Ils comparaissaient pour profanations et dégradations de sépultures "en raison de l'appartenance des personnes décédées à une religion déterminée", en l'occurrence le judaïsme. Des centaines de stèles avaient été renversées, certains tombeaux avaient été ouverts, et les profanateurs avaient uriné sur certaines sépultures.

La peine la plus lourde, soit 18 mois avec sursis, a été prononcée à l'encontre de l'homme considéré comme le "meneur". Trois autres prévenus ont écopé d'un an de prison avec sursis, et le dernier de huit mois avec sursis. Les cinq hommes devront en outre effectuer chacun 140 heures de travaux d'intérêt général (TIG), a précisé le procureur de Saverne, Philippe Vannier.

Pendant les deux jours de débat, les prévenus "ont exprimé leurs regrets", mais ceux-ci "semblent superficiels", a regretté Me Burkatzki. "Leur thèse c'est qu'ils ne sont pas foncièrement antisémites, qu'ils ont commis une erreur, une bêtise, un délire entre potes", a rapporté l'avocat. "Je suis réservé face à ce discours, car ils ont davantage évoqué les conséquences de leurs actes pour eux-mêmes et leurs familles - en disant par exemple que leur vie était foutue - que pour les victimes", a-t-il ajouté. "Nous ne croyons pas du tout à la sincérité de ce repentir", a également commenté Samuel Thomas, représentant d'une autre partie civile. "Personne ne peut croire qu'ils ont décidé ça sur un coup de tête au dernier moment", a ajouté M. Thomas, vice-président de l'association anti-raciste "La Maison des potes", qui a estimé les peines "beaucoup trop clémentes".

Ce saccage de très grande ampleur avait provoqué une vive indignation au niveau national, conduisant le président François Hollande à se rendre sur place. "Profaner, c'est insulter toutes les religions", avait-il proclamé.

Les suspects avaient été interpellés quelques jours après les faits, après que l'un d'eux se fut rendu de lui-même à la gendarmerie, effrayé par le retentissement de l'affaire. Le procureur avait alors expliqué que le mobile antisémite de leur acte était avéré, puisqu'ils avaient décrit au cours de leurs auditions des "gestes et paroles révélatrices", comme des "saluts nazis", des crachats sur des symboles juifs, ou le fait d'avoir prononcé "sales juifs", "sale race", "Heil Hitler" ou "Sieg Heil".

Cinq jeunes hommes ont été condamnés ce vendredi à Saverne (Bas-Rhin) à des peines de 8 à 18 mois de prison avec sursis pour avoir saccagé, alors qu'ils étaient encore adolescents, quelque 250 tombes dans le cimetière juif de Sarre-Union en février 2015.

Prison avec sursis pour une profanation antisémite

Vendredi, 15 Septembre, 2017
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STRASBOURG (Reuters) - Des peines de huit à dix-mois de prison avec sursis et 140 heures de travaux d’intérêt général ont été requises vendredi par le procureur de Saverne, au procès des cinq auteurs de la profanation du cimetière juif de Sarre-Union (Bas-Rhin) en février 2015, a-t-on appris auprès des parties civiles.

Les cinq jeunes majeurs, qui avaient de 15 à 17 ans au moment des faits, avaient indiqué la veille avoir décidé de profaner le cimetière « parce qu’ils s’ennuyaient » et ont nié, à l’exception d’un d’entre eux, avoir agi par antisémitisme, selon des informations recueillies auprès des parties civiles ou de leurs avocats.

Le procès se tient à huis clos, s’agissant de mineurs.

S’étant rendus à trois reprises dans le cimetière en l’espace d’un après-midi, ils avaient brisé ou endommagé 250 tombes ainsi qu’un monument aux victimes de la déportation, effectuant des saluts nazis et proférant des slogans faisant référence au IIIe Reich selon leurs propres aveux.

Ces jeunes gens, dont l’un est étudiant en informatique, trois autres en CAP de mécanique ou de sécurité et le dernier encore lycéen après avoir raté son bac, ont manifesté une forte émotion, pleurant même pour certains, lorsque les parties civiles, parents des défunts hôtes du cimetière se sont exprimées, a dit à Reuters Samuel Thomas, vice-président de Maison des potes, une association antiraciste qui s’est portée partie civile.

« Les réquisitions du procureur ne nous semblent pas suffisantes eu égard à la gravité des actes commis. Pour de tels délits, la privation des droits civiques devrait aussi être exprimée », a–t-il ajouté au nom de cette association.

Le procès se terminera dans la soirée. Le jugement devrait être mis en délibéré.

(Gilbert Reilhac, édité par Sophie Louet)

STRASBOURG (Reuters) - Des peines de huit à dix-mois de prison avec sursis et 140 heures de travaux d’intérêt général ont été requises vendredi par le procureur de Saverne, au procès des cinq auteurs de la profanation du cimetière juif de Sarre-Union (Bas-Rhin) en février 2015, a-t-on appris auprès des parties civiles.

Tombes profanées à Sarre-Union : les 5 jeunes condamnés à de la prison avec sursis

Vendredi, 15 Septembre, 2017
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Le tribunal pour enfants de Saverne a rendu son jugement dans la foulée du procès des 5 jeunes ayant profané 250 tombes du cimetière juif de Sarre-Union en février 2015. Les juges ont condamné les cinq protagonistes à des peines de prison assorties du sursis, avec en sus 140 heures de travaux d’intérêt général (TIG).

Un des jeunes est condamné à 18 mois de prison avec sursis, celui qui avait le profil de « meneur ». Pour trois autres, la peine est de 12 mois. Un cinquième, qui n’aurait pas participé à la totalité des dégradations, est condamné à 8 mois de prison avec sursis.

Les réquisitions entièrement suivies

La présidente du tribunal a ainsi suivi toutes les réquisitions du procureur de la République. Il avait notamment mis en avant la minorité des accusés au moment des faits. Ils avaient entre 15 et 17 ans et n’avaient pas d’antécédents judiciaires. Après la découverte, ils avaient été placés chez des tiers et éloignés de Sarre-Union.

Le mémorial de la Shoah . Il a été remis en état aux frais de l’Allemagne depuis (Photo Claude Truong-Ngoc / Wikimedia Commons / cc)

L’indemnisation fixée en novembre

La décision concernant l’indemnisation des 48 parties civiles, notamment les 847 000 euros réclamés par le Consistoire israélite du Bas-Rhin pour remettre en état le lieux dont il est gestionnaire et propriétaire, sera prononcée le 24 novembre.

Pour Thierry Roos, porte-parole du Consistoire, la peine est un point d’équilibre :

« Il y a une peine de prison prononcée, ce qui est assez rare chez les mineurs. Il ne fallait pas une peine trop lourde, par exemple de prison ferme, qui aurait pu en faire des héros pour certains. J’espère que les travaux d’intérêts généraux seront orientés dans l’optique d’une prise de conscience. »

C’est aussi l’avis de Me Olivier Charles, qui défendait un des jeunes :

« C’est un verdict d’apaisement qui est cohérent par rapport à l’infraction et qui tient compte de la réinsertion des jeunes. La peine les obligera à travailler, c’est mieux qu’une peine d’emprisonnement simple. »

L’affaire a-t-elle fait évoluer les jeunes ?

Pour Me Simon Burkatzki, qui a présenté les conclusions de la Licra, estime :

« C’est un jugement clément mais pas une anomalie pour des mineurs qui n’avaient pas de casier judiciaire. Il reste un grave problème pour la réparation des 250 tombes, les assurances vont être réticentes. Je crains que les victimes ne voient pas leur préjudice réparé pendant des années. »

En revanche, Samuel Thomas, vice-président de la Maison des Potes, trouve que les peines de prison comme le nombre d’heures de TIG ne sont pas « à la hauteur de la gravité des faits », en soulignant le salut nazi effectué par les jeunes et l’ampleur des profanations. En outre, la Maison des Potes estime qu’une autre personnes est passée au travers des gouttes de l’enquête (voir notre article), et entend faire appel de la décision du tribunal de refuser un complément d’information.

Mais les jeunes ont-ils changé ? Me Simon Burkatzki ne l’exclut pas :

« Des regrets au tribunal peuvent paraître suspects, prononcés sur les conseils des avocats… Mais j’ai constaté qu’après le verdict, deux jeunes sont allés voir des familles pour tenter de présenter leurs excuses… »

Comme pour tout procès en première instance, les parties ont la possibilité de faire appel de ce jugement. Pour comprendre les enjeux et les dernières informations sur cette affaire, nous avons consacré un long avant-papier à ce procès.

Le tribunal pour enfants de Saverne a rendu son jugement dans la foulée du procès des 5 jeunes ayant profané 250 tombes du cimetière juif de Sarre-Union en février 2015. Les juges ont condamné les cinq protagonistes à des peines de prison assorties du sursis, avec en sus 140 heures de travaux d’intérêt général (TIG).

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