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Logement

Discrimination au logement à Toulouse: des associations portent plainte

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Mercredi, 21 Mars, 2018
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Ils n’ont pas le droit de l’utiliser, c’est tout. » Le motif de « fichage ethnique » vise, lui, la possible conservation d’éléments faisant apparaître « les origines raciales ou ethniques, les opinions politiques, philosophiques ou religieuses, ou les appartenances syndicales des personnes », selon l’article 226-19 du Code pénal. Ce type d’éléments apparaît bien dans des échanges, également publiés par Mediapart, datant notamment de 2011, mais rien n’indique qu’ils ont été conservés.

Après les révélations de Mediapart, plusieurs associations attaquent en justice l’Office public de l’habitat de Toulouse métropole.

Discrimination : 20.000 € requis contre un office HLM

Vendredi, 19 Décembre, 2008
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 Une amende de 20.000 euros, pour moitié avec sursis, a été requise jeudi 18 décembre à son encontre poursuivi en correctionnelle pour discrimination raciale et fichage ethnique des locataires et demandeurs de logements. Le jugement a été mis en délibéré au 3 février.Tri sélectif Le procureur, Philippe Chassaigne, a estimé que cet office HLM avait eu "une volonté de discriminer", mise en lumière mi-2005 par un rapport de la Mission interministériel d'inspection du logement social (Miilos).

L'ex-Opac de Saint-Etienne est poursuivi pour discrimination raciale et fichage ethnique des locataires et des demandeurs de logements. vendredi 19 décembre 2008 385 mots - 2 min LA UNE P remier organisme HLM a être poursuivi pour discrimination, l'ex-Opac de Saint-Etienne, rebaptisé Métropole Habitat, est accusé d'avoir entre mars 2003 et mars 2006, effectué un fichage ethnique (Maghreb, Afrique, Asie) et d'avoir utilisé cette grille pour refuser l'attribution de logements dans certains quartiers, afin, selon elle, d'y "préserver un équilibre d'occupation, dans le cadre d'une

La condamnation d'un propriétaire toulousain confirmée

Mardi, 5 Juillet, 2005
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DISCRIMINATION. ANDRÉ LABATUT AVAIT REFUSÉ LA LOCATION D'UN APPARTEMENT À UNE FEMME EN RAISON DE SON PATRONYM

 Ils avaient été piégés par la méthode du testing mise en place par SOS-Racisme dans deux conversations téléphoniques. Dans une de ses conversations, l'agent immobilier expliquait qu'il ne pouvait « pas louer à des gens de couleur » l'appartement que souhaitait le client pour lui et une femme dont le nom est d'origine méditerranéenne. Le propriétaire avait lui aussi été reconnu coupable de « discrimination dans l'offre ou la fourniture d'un bien ou d'un service en raison de l'origine », la cour considérant que l'agent immobilier n'aurait pas pu prendre le risque de refuser une location si elle n'avait pas reçu d'instructions de sa part

L a Cour de cassation a confirmé hier la condamnation d'un propriétaire immobilier de Toulouse qui avait refusé de louer un appartement à une femme, en raison de son patronyme d'origine méditerranéenne. Le 5 octobre 2004, la cour d'appel de Toulouse avait condamné à une amende de 3 000 euros André Labatut, propriétaire, et Françoise Maurel, agent immobilier.

Huit mois avec sursis pour la gérante d'une agence immobilière

Jeudi, 4 Août, 2005
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DISCRIMINATION. ELLE PROPOSAIT AUX PROPRIÉTAIRES DE MENTIONNER SUR LE CONTRAT S'ILS SOUHAITAIENT NE PAS LOUER À DES ÉTRANGERS

L'association SOS-Racisme avait déposé plainte en mai 2003 contre Sud Location, après le témoignage d'une ancienne salariée qui dénonçait des pratiques discriminatoires à l'encontre de certaines populations, principalement maghrébine et d'Afrique noire.

L a gérante de l'agence immobilière toulousaine Sud Location a été condamnée hier à huit mois de prison avec sursis pour ne pas avoir soumis des offres de logement pendant des années à des candidats étrangers ou d'origine étrangère. L'association SOS-Racisme avait déposé plainte en mai 2003 contre Sud Location, après le témoignage d'une ancienne salariée qui dénonçait des pratiques discriminatoires à l'encontre de certaines populations, principalement maghrébine et d'Afrique noire. Durant l'enquête, la gérante de l'agence, Réjane Massarès, avait fourni une liste de 250 proprié

Un bailleur HLM condamné à 20.000 euros d'amende pour fichage ethnique

Samedi, 3 Mai, 2014
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N anterre (AFP) - Un des plus gros bailleurs sociaux d'Ile-de France Logirep a été condamné vendredi à 20.000 euros d'amende par le tribunal correctionnel de Nanterre pour avoir procédé à un "fichage ethnique" de ses locataires.La société HLM a été partiellement relaxée des faits de discrimination raciale pour lesquels elle était poursuivie après avoir refusé de délivrer en 2005 un appartement à Nanterre à un homme d'origine ivoirienne au motif qu'il était noir. Le tribunal a considéré que Logirep n'était pas responsable du refus d'attribution du logement délivré par une commission dont les liens avec le bailleur n'ont pas été établis.

 A l'audience, le bailleur avait souligné que sa direction était "autonome", au regard des décisions prises par la commission d'attribution composée d'un représentant de la mairie et des locataires et de deux salariés de Logirep. "Nous allons prouver que la commission d'attribution engage la responsabilité de Logirep quand elle prend une décision au nom de celle-ci et que la société HLM est pénalement responsable", a réagi vendredi Samuel Thomas, délégué général de la Maison des potes, partie civile.

Huit mois avec sursis pour la gérante d'une agence immobilière

Jeudi, 4 Août, 2005
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La gérante de l'agence immobilière toulousaine Sud Location a été condamnée hier à huit mois de prison avec sursis pour ne pas avoir soumis des offres de logement pendant des années à des candidats étrangers ou d'origine étrangère. L'association SOS-Racisme avait déposé plainte en mai 2003 contre Sud Location, après le témoignage d'une ancienne salariée qui dénonçait des pratiques discriminatoires à l'encontre de certaines populations, principalement maghrébine et d'Afrique noire. 

Durant l'enquête, la gérante de l'agence, Réjane Massarès, avait fourni une liste de 250 propriétaires qui auraient demandé l'utilisation de la mention « P.E. », pour « pas d'étrangers », qu'elle leur proposait. Lors du procès, elle a reconnu avoir eu « l'idée de ce fonctionnement » à la demande des propriétaires qui ne voulaient pas louer à certains étrangers.

DISCRIMINATION Condamnation d'un gérant d'une société immobilière

Mardi, 20 Mai, 2008
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Le tribunal correctionnel d'Amiens condamne le gérant de la société immobilière "Mil'Im" à Amiens pour discrimination raciale, après la découverte de la mise en place d'un système discriminatoire par SOS Racisme

L e gérant d'une société immobilière, poursuivi pour s'être rendu coupable de discrimination raciale au logement entre 2000 et 2003, a été condamné mardi 20 mai à trois mois de prison avec sursis et 2.000 euros d'amende par le tribunal correctionnel d'Amiens.Sa société, "Mil'Im", qui vend des listes d'appartements à louer, devra, elle, devra s'acquitter d'une amende de 10.000 euros. Le gérant et son agence devront par ailleurs verser 10.000 euros de dommages et intérêts à l'association SOS Racisme, partie civile. Le 6 mai, six mois de prison avec sursis et 5.000 euros d'amende a

UN LOGEMENT REFUSÉ À UN JEUNE NOIR Soupçon de discrimination raciale

Mercredi, 3 Août, 2005
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Un organisme HLM parisien aurait refusé un logement à un jeune Noir parce que l'immeuble compte déjà « trop » de personnes d'origine africaine.

F rédéric Tieboyou est salarié à la RATP. Ce célibataire de 29 ans, Français d'origine ivoirienne, gagne 1 700 € par mois. Il y a peu, il visite un trois-pièces de 65 m2 , à Nanterre. L'appartement appartient à la Logirep, une société privée HLM. Il le réserve.Le 19 juillet, il apprend par téléphone que sa demande a été refusée. « A Nanterre, on a beaucoup de problèmes et on essaie de mixer un peu toutes les origines et tous les revenus », lui explique une conseillère Logirep dont Frédéric a enregistré les propos.

Logirep condamnée pour «fichage ethnique» et «discrimination raciale»

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Vendredi, 18 Mars, 2016
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Certes, c'est une victoire tardive pour La Maison des Potes , mais une victoire quand même .

La société HLM Logirep a été condamnée pour «fichage ethnique» et «discrimination raciale» à 25.000 euros d’amende ce vendredi 18 mars par la Cour d'appel de Versailles. Une somme jugée «dérisoire» par Samuel Thomas, vice-président de La Maison des Potes, qui estime qu'elle n'a «aucun caractère dissuasif» . Si la sanction ne lui apparaît pas proportionnée après onze années de procédures judiciaires, Samuel Thomas parle tout de même « d'une reconnaissance et d'une grande victoire » 

En 2014, une peine de 20.000 euros d’amende, et de 10.000 euros de dommages et intérêts à verser à SOS Racisme et La Maison des Potes, parties civiles dans ce dossier, avait été prononcée en première instance. Le tribunal correctionnel de Nanterre avait alors condamné la société Logirep, l’un des bailleurs sociaux les plus importants de la région Île-de-France pour «fichage ethnique». Elle avait toutefois été relaxée des poursuites pour «discrimination raciale»

JUSTICE. CONDAMNATION POUR DISCRIMINATION RACIALE CONFIRMÉE ENVERS UN PROPRIÉTAIRE TOULOUSAIN ET SON AGENCE IMMOBILIÈRE

Lundi, 11 Octobre, 2004
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« Un message très ferme »

le couple avait produit à l'audience un enregistrement téléphonique, dans lequel la gérante concédait notamment: « Je ne peux pas louer à des gens de couleur ».

L a cour d'appel de Toulouse a confirmé la semaine dernière la condamnation pour discrimination raciale, tant pénale que civile, prononcée le 26 mars 2003 à l'encontre d'un propriétaire toulousain et de la gérante d'une agence immobilière, qui avaient refusé de louer un appartement à une jeune femme. En première instance, les prévenus avaient été condamnés à payer 3 000 euros d'amende chacun, ainsi qu'à verser solidairement 1 000 euros de dommages et intérêts à Malika Hammou et 750 euros à SOS-Racisme, en tant que parties civiles. Enseignante, Malika Hammou voulait louer en co

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