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Lutte contre les discriminations

Une plainte déposée contre Le Louvre pour des tarifs jugés "discriminatoires"

Lundi, 16 Juin, 2014
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"Les touristes extracommunautaires sont frappés d'une discrimination qui ne repose sur aucun texte de loi"

La Maison des Potes a déposé plainte contre le Musée du Louvre et le Centre des musée nationaux , les accusant de pratiquer des tarifs discriminatoires envers les jeunes étrangers non européens.

La Maison des Potes a déposé plainte contre le Musée du Louvre et le Centre des musée nationaux , les accusant de pratiquer des tarifs discriminatoires envers les jeunes étrangers non européens. "Les touristes extracommunautaires sont frappés d'une discrimination qui ne repose sur aucun texte de loi", écrit la fédération dans sa plainte adressé au procureur de la République de Paris. SOS Racisme avait déjà saisi la justice du fait qu'une cinquantaine de musées nationaux réservaient la gratuité aux jeunes de moins de 26 ans doté d'un passeport français ou européen.

Les Européens favorables à l’égalité des droits avec les résidents étrangers

Jeudi, 27 Octobre, 2016
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En termes d'accès à l'emploi, de salaires et de vote, il existe encore trop de discriminations à l'égard des non-Européens

En dépit de la montée du populisme en Europe, les citoyens européens soutiennent majoritairement une meilleure intégration des résidents étrangers et rejettent la préférence nationale en matière d’emploi, selon un sondage réalisé dans 6 pays européens. Malgré la montée des partis populistes en Europe, une majorité d’Européens est en faveur d’une meilleure intégration et d’une égalité des droits du travail des résidents non-européens, qui représentent 6% de la population, soit 30 millions de personnes

En termes d'accès à l'emploi, de salaires et de vote, il existe encore trop de discriminations à l'égard des non-Européens. En dépit de la montée du populisme en Europe, les citoyens européens soutiennent majoritairement une meilleure intégration des résidents étrangers et rejettent la préférence nationale en matière d’emploi, selon un sondage réalisé dans 6 pays européens. Malgré la montée des partis populistes en Europe, une majorité d’Européens est en faveur d’une meilleure intégration et d’une égalité des droits du travail des résidents non-européens, qui représentent 6% de la pop

Le gouvernement lance une brigade anti discriminations sur Facebook

Mardi, 16 Avril, 2019
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« Si on publie un signalement sur la page Facebook de la Badi, l’entreprise ou la personne accusée a le temps de faire le ménage avant que la police n’enquête »

Signaler une situation de discrimination, c’est désormais possible sur Facebook. Lundi, Marlène Schiappa, la secrétaire d’Etat chargée de l’Egalité femmes-hommes, et Julien Denormandie, secrétaire d’Etat auprès de la ministre de la Cohésion des territoires, ont lancé la plateforme Badi (brigade antidiscriminations) sur le réseau social

Signaler une situation de discrimination, c’est désormais possible sur Facebook.

La "brigade antidiscrimination" voulue par le gouvernement ? Une page Facebook

Lundi, 1 Avril, 2019
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"S'il faut plus de moyens, on les mettra", assurent les ministres Julien Denormandie et Marlène Schiappa.

Lancement en grande pompe. Après une tribune parue dans Le Parisien et Le Journal du dimanche annonçant sa création, la page Facebook "brigade anti-discrimination"(Badi) a été inaugurée ce lundi dans les locaux parisiens de Facebook France, en présence de la secrétaire d'État chargée de l'Égalité entre les femmes et les hommes, Marlène Schiappa, et du ministre chargé de la Ville et du Logement, Julien Denormandie. 

"S'il faut plus de moyens, on les mettra", assurent les ministres Julien Denormandie et Marlène Schiappa.

Lancement en grande pompe.

La Brigade anti-discriminations, une vraie bonne idée?

Mercredi, 3 Avril, 2019
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VICTIMES  Les associations saluent le lancement d’une plateforme de signalement des discriminations sur Facebook, tout en regrettant que le projet du gouvernement n’aille pas plus loin


Signaler une situation de discrimination, c’est désormais possible sur 

Racisme. L’État petit bras contre les discriminations

Mardi, 17 Octobre, 2017
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Selon un sondage publié ce matin par la Fédération nationale des Maisons des potes, les Français réclament des mesures plus ambitieuses et sévères contre ce fléau.

Attentats islamistes à répétition, crise des réfugiés, poids du FN à l’élection présidentielle… L’actualité de ces derniers mois aurait pu faire redouter une montée de la xénophobie et du racisme. Un sondage, publié ce matin par la Fédération nationale des Maisons des potes (1), se veut plutôt rassurant. Loin d’être indifférents aux questions de discrimination, les Français estiment, au contraire, que les pouvoirs publics ne luttent pas suffisamment contre ce fléau et réclament de nouvelles mesures plus sévères. « On constate un décalage flagrant entre les aspirations des personnes interrogées et la réalité du quotidien », résume Samuel Thomas, délégué général des Maisons des potes, qui effectue cette enquête depuis plusieurs années.

L’enquête montre ainsi que 83 % des Français souhaitent des sanctions juridiques renforcées contre les employeurs coupables de discriminations liées à l’origine, la nationalité, la couleur de peau ou la religion. Un chiffre en hausse de trois points par rapport à 2015. « Or, la réalité, c’est que la chaîne judiciaire – des policiers aux magistrats – minimise trop souvent ces faits et les classe sans suite trop facilement. Il n’y a quasiment aucun procès pour des faits de discrimination alors que tout le monde reconnaît que c’est quelque chose d’extrêmement courant. »

« Certaines thématiques ne sont plus portées par le pouvoir actuel »

Même paradoxe sur la discrimination sociale. Les Français sont largement d’accord (82 %) pour qu’une même rémunération et une même retraite soient accordées à toutes personne travaillant dans notre pays, quelle que soit sa nationalité. « Mais ce n’est pas du tout le cas dans de nombreux secteurs, comme le bâtiment ou encore l’hôtellerie-restauration », note Samuel Thomas, qui cite également le cas de la SNCF, condamnée en première instance pour discrimination envers des centaines de cheminots marocains, embauchés avec un sous-statut rognant leurs droits à la retraite. Autre mesure largement partagée : l’idée d’instaurer un CV anonyme recueille 73 % d’approbation.

Les Français se montrent, en revanche, plus divisés sur l’accès à de nouveaux droits pour les étrangers. Ils sont 56 % à être favorables à une régularisation des travailleurs sans titre de séjour qui disposent d’un contrat de travail. Un chiffre stable. Tout comme celui sur le droit de vote des étrangers non européens aux élections municipales et européennes (47 %), au même niveau que l’année précédente. « Ces thématiques ne sont plus portées par la majorité au pouvoir et cela s’en ressent, il y a une sorte de démobilisation », explique Samuel Thomas. Au début du mandat de François Hollande, la revendication du droit de vote des étrangers dépassait les 55 % d’opinions favorables. L’abandon en cours de route de cette promesse de campagne, également absente du programme d’Emmanuel Macron, n’aide pas à la populariser. « Il y a besoin de montrer que, dans tous les pays où cette mesure a été mise en place – Espagne, Irlande ou encore Pays-Bas –, elle n’a jamais été remise en cause et la démocratie ne s’en porte que mieux. Idem sur la régularisation des travailleurs sans papiers. »

La Fédération des Maisons des potes, qui organise jusqu’à samedi des universités européennes contre le racisme et les discriminations (2), compte interpeller le gouvernement sur tous ces points. Le 18 avril dernier, le candidat Macron s’était prononcé pour davantage de sanctions contre les entreprises qui discriminent et pour l’ouverture des emplois de fonctionnaires aux non-Européens. « On attend encore de voir s’il va tenir parole », glisse Samuel Thomas.

Selon un sondage publié ce matin par la Fédération nationale des Maisons des potes, les Français réclament des mesures plus ambitieuses et sévères contre ce fléau.

Arrêtés anti-burkini: ces communes qui s'entêtent en dépit du droit

Jeudi, 6 Juillet, 2017
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La décision du Conseil d'Etat au sujet de ces arrêtés sera restée sans effet, plusieurs communes réitèrent cet été, malgré les risques de poursuites.
La décision du Conseil d'Etat au sujet de ces arrêtés sera restée sans effet, plusieurs communes réitèrent cet été, malgré les risques de poursuites.

L'

Loire : une plainte déposée contre un maire pour "discrimination" en lien avec la religion musulmane

Samedi, 1 Juillet, 2017
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Après l'interdiction, sur le nouveau plan d'eau communal de Lorette (Loire), du port du voile et du burkini, le vice-président de la Maison des potes-Maison de l'égalité a déposé une plainte contre le maire pour "discrimination à l'encontre de personnes en raison de leur religion musulmane".

Une plainte a été déposée contre le maire de Lorette (Loire), auprès du parquet de Saint-Étienne, jeudi 29 juin, par le vice-président de la Maison des potes-Maison de l'égalité, pour "discrimination à l'encontre de personnes en raison de leur religion musulmane", a appris franceinfo qui a pu se procurer la plainte vendredi matin. Interdiction du port du voile et du burkini sur le nouveau plan d'eau Gérard Tardy, le maire divers droite de Lorette, a interdit sur le nouveau plan d'eau communal, le port du voile et du burkini.

Les marcheurs pour l’égalité ont fait étape à Plérin

Dimanche, 1 Janvier, 2017
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Les marcheurs pour l’égalité ont fait étape à Plérin 

Modifié le 13/12/2016 à 14:44 | Publié le 13/12/2016 à 14:44

Écouter 
  • Les marcheurs ont été accueillis par le maire de Plérin. | Ouest-France

Ouest-France

Huit marcheurs du Tour de France « Unis pour l’égalité » ont fait étape ce mardi à la mairie de Plérin. Ils ont été accueillis par les élus et une trentaine d’habitants.

Mardi, entre un atelier d’échange sur les discriminations avec les élèves du lycée Chaptal à Saint-Brieuc et un débat public à l’hôtel de ville de Plérin, les marcheurs, revêtus de leurs maillots blancs « Faire de l’égalité une réalité », ont rejoint les élus et les Plérinais à l’heure de midi, devant la mairie.

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« Par ce Tour de France, parti de Marseille, nous voulons être entendus par les candidats à la présidentielle », a expliqué Samuel Thomas, directeur de la Maison des Potes organisatrice de la marche. L’organisation revendique notamment le droit de vote pour les étrangers aux élections locales, des sanctions contre les discriminations à l’embauche interdites par la Loi, la régularisation des travailleurs sans papiers. 

Un message d’espoir

Cette étape à Plérin ne doit rien au hasard. Elle a été largement soutenue par l’association briochine UnVsti qui s’apprête à assurer la gestion et l’animation du centre social, dont plusieurs salariés étaient présents. « Les valeurs défendues ici sont partagées par l’équipe municipale » a souligné le maire Ronan Kerdraon.

Saïd Bendarraz, adjoint au maire de Saint-Brieuc, a salué un « message d’espoir lancé depuis les marches de la mairie de Plérin », et Jean-Luc Canté, délégué du Préfet rappelé l’importance de « lutter pour le bien vivre ensemble ». Le slameur briochin Radouan Nasri a terminé la rencontre en lisant un texte composé pour l’occasion.

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